Texte traduit par
Massimo
Salicchi
Que
toutes les rivières, les sols et les roches de la "région"
de l'ovadese
et environs sont considérés
comme terre aurifère, est un concept présent connu deja de
l'antiquité,
mais ce qui est peut-être peu connu par les chercheurs d'or amateurs
contemporains, c’est le
fait que nous parlons d'un district minier qui possède parfois importants dépôts de giaciture
primaire et secondaire (voir par exemple les
mines
du Gorzente ou l'or
du Rio Secco). Pour ce qui concerne la
quantité aurifère et en particulier l'or de la rivière, qui est le sujet
traité dans cette section,
ces quantités changent complètement d'une rivière à l'autre, et d'un territoire à
l'autre encore
si c'est toujours le même cours d'eau;
de
toute façon, sont nombreux les lieux utiles
à la recherche parce que long
des vallées il ya des petits (souvent
"très
petits")
cours d'eau
virtuellement
ou probablement aurifères.
L’or
ovadese, dans le sens de sa distribution dans les sols (sans
se référer aux endroits des rivières
où ils se concentre
naturellement et donc, dans la
quantité,
on peut
aussi trouver des échantillons occasionnels
de plus grande taille) est généralement
visible en forme de fines
lamelles, d'une belle couleur
jaune, qui difficilement sont plus grandes que
d'un millimètre de diamètre, mais il ya des exceptions, en particulier dans les régions
"touchées"
par le fleuve Piota, par la rivière
Gorzente et encore
par la rivière Orba. En parlant de ce dernier fleuve, il ya certains terrains très
intéressants
où la rivière Piota se jette dans le fleuve Orba, comme en témoignent
par exemple ces deux expériences
qui ont eu lieu près de
Silvano et
Capriata.
Maintenant, nous expliquons en général comment l'or est distribué
sur le territoire du Val d'Orba et ses vallées adjacentes, comme les Val di Stura, di Lemme,
du Piota
etc.
À commencer de l'Orba, dont nous avons déjà
parlé, si nous
partons de ses sources et geograficament nous suivons le cours d'eau, nous pouvons ajouter
que la rivière et la vallée qui la
contient devient aurifère seulement d'Ovada en avant, c'est à dire
dans tout le territoire qui s'étend, a partir de la petite ville,
jusqu'à sa confluence avec la rivière Bormida; c'est très
intéressant, même pour la taille de ce que nous pouvons trouver,
sa section de Ovada à Silvano
d'Orba, tandis que en continuant plus au sud et à venir
en proximité du fleuve Bormida, nous pouvons encore
trouver de l'or, mais en plus petites tailles. La rivière Stura devient plutôt plus intéressant dans
la zone située entre Gnocchetto et Ovada: il doit être clair qu'il peuvent toujours se
produire des "exceptions" ou des "nouvelles
découvertes", mais ceci c'est ce qui s'est
généralement
passé jusqu'à présent.
Dans la basse plaine de la rivière Piota on peut trouver dans le sédiment générique plus d'un gramme par mètre
cube et de ce fait
c'est
donc
simple et juste déduire
que si nous examinons sur la rivière
un bon lieu où le matériel lourd c'est concentré (en
italien,
"Punta") nous pouvons trouver une quantité d'or très intéressante:
il faut noter par
exemple que entre Silvano d'Orba et Capriata ont été trouvées
des gros paillettes d'or repliées
sur eux-mêmes plusieurs fois et s'il
était possible de les ouvrir, pourraient atteindre plus de 5 cm
de long.
En
parlant du fleuve Piota, je me souviens d'un discours qui je
pense est important pour bien comprendre ce que nous pouvons trouver dans cette rivière et
autres cours
d'eau locaux. Je veux dire que nous ne devons pas oublier que la
moltidude des veines aurifères qui
sont plus à nord, dans les passés ères géologiques ont enrichi
les terrasses alluviales qui ont été formées sur le sud à cause de tout le
dépôt enlevé
pendant l'âge de glace. Ceci, comme
nous savons, est la raison pour laquelle il ya ici or alluvionnaire et en même temps
explique aussi pourquoi ce type d'or (paillettes, en italien
"scagliette") n'est pas présent si nous remontons
"trop" la rivière:
en même temps,
toutefois, dans de nombreux cours d'eau
Ovadesi (en particulier le fleuve Piota, voir photo dans la
page orig.) vous pouvez trouver
des paillettes, des granulés d'or natif à l'état libre ou encore attaché
au quartz.
Cela se produit naturellement si nous remontons en amont long le
cours d'eau en allant donc en proximité de la "source
d'origine" e cette dernière (depot primaire) ne doit
pas
nécessairement être une mine déjà connue, mais
peuvent
également être par exemple des veines aurifères de surface pas encore
connues: il
arrive aussi que ces filons traversent les fleuves eux-mêmes
et que,
avec le passage du temps, ils ont laissé
partie
de leur minéralisation.
En optant
pour ce dernier type de recherche, il est conseillé de quitter complètement
les méthodes utilisées pour chercher l'or alluvionnaire et s'adapter comme il est expliqué
dans une autre section du site (or natif dans les petits
ruisseaux).
Texte traduit par
Massimo
Salicchi