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pubblicazione di Miniere d'Oro(2003) web.Tiscali.it/minieredoro (2004)www.minieredoro(2006 / 2026)

                                          

 

 

Pour bien comprendre les raisons qui ont conduit à la formation des Dépôts Secondaires de minerai dans notre pays, à savoir l'or dit alluvionaire que de nos jours nous essayons sur les rivières (les banques) de la Lombardie, Piémont etc, il faut se référer aux réflexions des savants qui dans les temps, entre confirmations  et dénises, enfin ils nous ont donné l'actuelle vérité connue. Tant cette page et celles qui suivent par une analyse dans les approfondiments sur la droite (voir la page orig.) sont en fait un extrait obtenu a partir des textes précieux de Robilant , Jervis, Micheletti et autres maîtres illustres, grâce auxquels nous avons maintenant une image claire de la configuration géographique de l'or en Italie ( voir à ce sujet la Charte aurifère du dr. Giuseppe Pipino ).

Le Comte Balbo déjà vers la fin du 1700 a déclaré que les dépôts alluvionaires n'ont pas été faites de or transporté par les ruisseaux des vallées alpines (et ensuite, plus an bas, par les rivières ) enfin en le déposant. Il affirmait que l'or était déjà dans le sol des collines et des plaines environnantes depuis les temps anciens et que à l'amener sur la surface c'était (hier comme aujourd'hui) le travail des inondations périodiques des fleuves, une situation dans laquelle la force de  de l'eau trainait le matériel plus léger en laissant  (en surface, presque "en vue") l'or et les autres minéraux lourds. De la même (et correcte) idée était aussi l'illustre Nicolis de Robilant, le métallurgiste le plus important et  chercheur de l'époque, mais  tous les deux se trompaient sur une chose, croyant que ces sols aurifères puvaient être causées par le vieux écroulement des montagnes environnantes.

En ces temps, en fait, même si on avait déjà noté le phénomène des moraines  dérivées des glaciers, on ne savait pas encore exactement ce qui s'était passé pendant les éloignées époques glaciaires.

Au début des années du 1800 sont apparus aussi, à confondre la matière, ded différentes et incorrectes facons de penser par d'autres scientifiques, surtout Vittorio Michelotti, (pas Micheletti, qui était aussi un érudit de l'or) qui les a amenés à écrire des théories visant à prouver que l'or alluvionnaire a toujours été uniformément réparti dans les plaines et n'avait donc pas rien à voir avec les veines d'or des endroits en amont ou à côté des Alpes. Une théorie que je ne vais pas m'attarder à décrire parce que (plus de ne pas s'affirmer) a été à ce moment-là déjà réfutée par des études de Balbo et Robilant. C'est enfin le chef du district minier de Turin, en 1890, a faire des conjectures, avec la correcte conviction que l'or libre présent dans les plaines a été amené là par les glaciers pendant leurs mouvements. Il s'agit de l'ingénieur Alberto Rovello: ceci, dans son rapport d'inspection sur la recherche aurifère q'une société française pratiquait dans le Tessin (Ticino) et ses bords sablonneuses, il écrivit, dans son rapport, comme suit:

"... L'affirmation qu'on peut maintenant dire, c'est que l'or des inondations du Ticino provient de l'érosion des régions où il ya des veines de quartz aurifère cultivées aujourd'hui par des nombreuses mines. Ces veines d'or ne sont pas seulement sur les pentes du Monte Rosa et ses vallées latérales, appelées Val Anzasca, Val Antrona , Bagnanco, mais aussi sur les pentes de la vallée principale du Toce, de Crodo à Rumianca et Vogogna; considérant qu'il ne semble pas que long le cours du Ticino supérior à son embouchur dans le lac Majeur se trouve l'or alluvionaire, il faut donc conclure que l'or qui se trouve dans sa partie inférieure à l'entrée de Sesto Calende est l'Or des veines aurifères du Groupe Monte Rosa, qui a du en partie descendre le long des vallées secondaires susmentionnées et en partie la même vallée principale du Toce. Comme ce processus poursuivi jusqu'à Sesto Sesto Calende, malgré l'immense excavation occupé aujourd'hui par le Lac Majeur (Lago Maggiore) et qui divise l'embouchure de la val Toce de l'entrée du Ticino, est facilement expliqué en rappelant le mécanisme des glaciers au cours de la période de leur plus grand développement où ils ont déposé les grandes moraines qui sont connues, donc comprise aussi celle qui "ferme" au sud le Lago Maggiore. Il semble donc satisfaisante à-dire que les moraines de la Vallée du Toce, déjà eux-mêmes formées par le complexe des moraines de la vallée principale d homonyme fleuve et des ses vallées latérales, toutes aurifères, sont venus sur le glacier qui est maintenant le Lago Maggiore en concurrence avec les moraines stériles du même glacier d'autres vallées et ensemble ont formé la moraine de Sesto Calende dont l'érosion subséquente a donné lieu a l'alluvion la plus récente et aurifère du Ticino.

 

 

 

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