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Mon
français n'est pas très bon, de sorte que vous trouverez sur cette
page un certain nombre d'erreurs d'orthogr.
et de terminologie: le
but est d'expliquer le sujet
en général. |
pubblicazione
di Miniere d'Oro(2003) web.Tiscali.it/minieredoro (2004)www.minieredoro(2006 /
2026)
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L'OR
DE LA BESSA (LA MINE DES ITTIMULI) SELON LES ECRITS DU " PLINIO LE VIEILLE" ET
AUTRES CONSIDERATIONS D'AUJOURD'HUI.
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Dans
la zone appelée Bessa, la grandeur de la mine
d'or de l' agro Vercellese est telle que, à un certain moment, après
l'occupation romaine est
appliquée une loi censorea qui interdit
aux traitants de cettes "aurofodinae" (avec ce terme
que finit
par les voyelles [ae] en ces
temps on se
référait à les mines d'or de toute nature, tant
pour les travaux dans les tunnels comme
pour les travaux à l'extérieur,
donc gisements
primaires, secondaires, et à ne pas confondre avec le aurifodine
[e] qu'on définit
aujourd'hui, voir ci-dessous) l'utilisation d'une
masse de travailleurs de plus de 5000 unités. À
cet égard, Pline l'Ancien (Plinio le Vieille, 23-79 après J.-C. en
italien Plinio il Vecchio) confirme en effet
qu'il y avait une loi sur la mine d'or d'Ittimuli qui
interdisait
les Publicains
d'avoir plus de 5.000 hommes au travail.
L'ancien
auteur poursuit avec une description des différentes méthodes
utilisées pour l'extraction de l'or. Le
premier se résume à la simple séparation des sables
des rivières, en profitant de la considérable
densité du métal
précieux, (et a été omis ici). La
deuxième méthode décrit l'exploitation des gisements primaires
avec puits et tunnels. Le
troisième, qui décrit l'exploitation des gisements dans la
moraine est la citation la plus
détaillée, d'importance
historique fondamentale
et vous trouverez ici une
bonne partie de ses contenus
parce que
l'objet
concerne les célèbres aurifodine
auxquelles
j'ai aussi dédié
une
section du Site.
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DEUXIÈME
MÉTHODE (Le Arrugie) Le troisième effort allait
gagner les œuvres des géants. Montagnes sont creusées à la
lumière des lampes à huile par des tunnels très
profonds. Égal durée ont la veillée et le repos et pendant plusieurs mois
ne se voit pas le jour. Ces fouilles sont
appelés Arrugie et les fissures de la terre ruinent soudainement et
écrasent les travailleurs de sorte qu'il ne semble même
pas imprudent chercher
les perles au fond de la mer, tant ils ont ici fait un terrain
plus dangereux. Alors sont laissés, à soutenir les montagnes,
fréquentes
voûtes. Il y a des
blocs de Silice qui viennent démolis
par le feu et le vinaigre. Toutefois, puisque
très
souvent dans les tunnels la vapeur et la fumée étouffent les
hommes, les cassent avec "mazze di 150 libbre" (italien)
et les
apportent sur leurs
épaules le jour et la nuit les
faisant passer,
dans l'obscurité, l'un à l'autre, et seulement les derniers porteurs
voient la lumière. Lorsque le bloc de silice est très long, l'excavation le suit sur le
côté jusqu'à la fin
pour continuer.
Pourtant, on estime plus facile de
travailler dans la silicie: en fait, il y a une terre d'une sorte
d'argile mélangée avec du gravier (appelée candida) presque
imprenable. Elle (la roche de silice) est attaquée avec des cales et avec ces mêmes
"mazze
di 150 libbre"
et rien se croit n'est plus dure, si ce n'est pas la chose
la plus forte la faim d'or. Fini le travail ils
réduisent
les impôts
des arcs en commençant par le dernier. L'éboulement
du terrain donne son signe, mais il est perçu seulement par celui qui
monte la garde sur le dessus de la montagne. Ceci, avec la voix
et des signaux, commande d'appeler les travailleurs et en même
temps se précipite en aval. Le mont "fractioné
" tombe à distance avec
un rugissement que l'esprit humain peut imaginer et d'un souffle
incroyable. Les travailleurs, les
gagnants, admirent
la ruine de la
nature. Cependant il
n'y a pas encore de l'or et ils ne
savaient pas qu'il y avait lorsq'ils
creusaient, mais était une raison
suffisante pour tant de dangers et dépenses espèrer ce qu'ils
voulaient trouver.
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Troisième
méthode (Le
Aurifodine) "Une autre difficulté égale et
peut-être de plus grande dépense est le conduire jusque
là,
pour
puis laver celle destruction de la nature,
les rivières des
vallées des montagnes
et très souvent, si nécessaire, à
partir d'une distance de cent
"miles"
(en
italien, miglia). Ils sont appelés
corrughi
du verbe corrugare (en italien) que signifie canaliser,
canalizar: il
s'agit certainement
d'un travail difficile. Il faut tenir compte du poids de l'eau qui tombe qui
soit capable d'arracher ce où elle coule et donc elle est prise de très
haut. Les vallées se relient par des canals (......). Au sommet
des endroits où l'eau sera précipitée se creusent des bassins
de 200 "pieds" de chaque coté et 10 "pieds"
de hauteur: dans ces vasques on laisse
5 points de sortie d'environ 3 pieds carrés et, rempli le
bassin,
enlevées les serrures, rompt un flux avec une telle violence de
faire glisser les pierres ".
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Les
bassins, pratiquement,
qui pourraient être remplis dans la nuit ou
pendant les phases de travail de
stase, étaient destinés
à assurer la disposition constante de l'eau et étaient équipés de
cloisons par lesquels l'eau était fournie avec fluidité ou de violentes vagues
selon l'occurrence, aux conduits de lavage:
avec ce système, dans ces derniers s'arrêtait, nécessairement,
d'abord seul l'or plus considérable,
les "morceaux"
plus gros,
tandis que le mince coulait en aval s'arrêtant et
se
regroupant
plus en bas avec le gravier
stérile.
Même
les pierres roulaient plus en bas en suivant le même
principe ci-dessus et ne s'arrêtaient
pas qu'après des centaines de mètres, avant
celles de plus grande taille, puis les plus petites, tandis que le matériau encore
plus mince arrivait jusqu'à 3 "miles" (en italien,
miglia) de distance et ici était convoyé
dans des petits fossés spéciales où ont avait mis sur
le fond poutres (faisceaux) de Ulice, un arbuste similaire
à romarin
(Rosmarino),
peut-être bruyère
(Erica). Les
arbustes, qui retenaient l'or, étaient périodiquement
séchés, puis brûlés pour finalement récupérer le métal de
la cendre.
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Dans
cette image (Dans la page en italien,
image
de la zone géographique
de
ces traveaux)
nous pouvons aussi reconnaître la crête
qui descende en diagonale (dans la photo, de Andrate à Zimone) et
est le point culminant de la Serra d'Ivrea: cette dorsale
sépare la
partie plane, où il y a la ville, du plateau juste dit Serra et
du territoire
Biellese en général; les gens qui viennent à Ivrea pour la première
fois et regardant vers l'Est, en fait ne peuvent
pas s'empêcher de remarquer et rester "impressionnés"
par la longue crête boisée élevée et homogène que de ce côté n'a
pas aucune discontinuité.
Bien
sûr, une moraine (car il s'agit d'une moraine) si linéaire et
"précise"
ne peut pas etre un résultat aléatoire,
mais c'est la conséquence
de ce qui s'est passé au cours de la période post-glaciaire,
c'est à dire lorsque les glaciers ont commencé à s'effriter,
puis rouler progressivement plus un bas creusant, faisant glisser et portant avec eux
roches etc. et
ont ainsi formé les plaines et les vallées (voir dessins et des
explications sur ce processus dans
un'autre page du Site). Fondamentalement,
en ce qui concerne
ce côté de la Serra, elle est en grande
partie formée par pierres
et terre
arrivées de la
proche Val
d'Aosta , qui au cours de leur descente ont déposé "comme souvenir"
cet énorme,
long (mais aussi large) plateau
détritique.
De
l'autre côté,
où
se trove la véritable Bessa formée non seulement
avec
les pierres de la vallée d'Aoste,
mais aussi avec celles de la Valsesia etc, les résidus provenant
des canaux de lavage faits pendant ces travaux antiques arriverent
(et encore arrivent) aux
bords
de
la rivière Elvo, qui coule en effet, parallèlement au pied de la
même.
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Voir
page originale sur Aurifodine Voir
p. Début
de la Bessa
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page contient seulement le texte principal:
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cartes, notes qui
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