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Mon français n'est pas très bon, de sorte que vous trouverez sur cette page un certain nombre d'erreurs d'orthogr. et de terminologie: le but est d'expliquer le sujet en général.

 

pubblicazione di Miniere d'Oro(2003) web.Tiscali.it/minieredoro (2004)www.minieredoro(2006 / 2026)

                                          

 

 

Or dans les rivières (fleuves) e leurs rives. Au pied des vallées des Alpes, qui contiennent les dépôts primaires , se détend, à partir de l'ouest, la région du Canavese et autres plaines, progressivement jusqu'à ce qu'elles couvrent toute la zone sous-jacente les Alpes et qui est l'énorme surface territoriale des dépôts secondaires ici représentés par des signes de ponctuation en bleu et contenant l'or alluvionnaire italien (carte dans la pag. orig.). En me faisant maintenant aider d'une publication de André et Pivi (La recherche de l'or alluvionnaire ...) je vais essayer de décrire ce qui s'est passé à cette époque.

Dans tout le pays au-dessous des Alpes, au cours de la période de glaciation, l'énormes quantités de glace qui descendaint avec implacable lenteur, brisaient et écrassaient tout ce qui rencontrèrent et était d'obstacle.

Ensemble, avec les roches, cristaux, granit (etc), le glacier traîné aussi l'or vers la plaine (voir la page sur la formation d'or alluvionaire "pour transport"). Ce métal, dans sa lente progression, a été écrasé par le poids énorme au-dessus de lui et c'est pour cette raison que lorsque nous le trouvons dans sa typologie alluvionaire, il est de nos jours sous la forme de plaques minces et écrasées. Les photographies (voir la page orig.) montrent or de la rivière Orba fortement agrandis: il faut remarquer que le minéral (métal) de ce fleuve est un des plus épaisses de l'Italie et que souvent les "paillettes" des autres rivières sont plus minces qu'une feuille de papier. L'Or des depots secondaires alors ce n'est pas seulement sur les rives des fleuves où on le cherche habituellement, mais aussi dans le sol environnant. Quand les rivières vont périodiquement "en crue" et leur eau devient grande et impétuose, elle va éroder les côtés, emmenant en eux avec elle la terre et les "paillettes" qu'irons ensuite s'arreter dès que possible sur le côté du fleuve, formant les soi-disants "Pointe" (en italien, Punte). Avec ce terme bien connu par le prospecteur d'or on ce réfère aux points en bordure des cours d'eau dans lesquels c'est formée une remarquable concentration des minéraux plus lourds: en regardant l'exemple à droite (carte dans la page orig.), la lettre "A" indique le point creusé par la force de l'eau, le «B» représente l'endroit utile pour la recherche qui c'est formé en conséquence, et le "X" localise son début, ce qui est souvent la région la plus "riche".

Dans la plupart des fleuves du nord de l'Italie (carte dans la page orig.), avec quelques outils vous pouvez essayer à ce type d'amusant recherche et il est important de savoir que les différentes rivières ont souvent leurs caractéristiques uniques par rapport aux autres: dans certaines fleuves les paillettes d'or sont plus grandes ou plus petites, plus épaisses ou plus minces que celles trouvables dans autres rivières aurifères. Pour connaître en détail quelque lieu valable pour la recherche, voir les "fleuves italiens avec or" (à droite dans la page orig.).

Sur le plan pratique (notre) je pense qu'on peut conclure en disant que dans tous les principaux cours d'eau qui parcourent les vallées alpines (si elles sont aurifères) vous pouvez trouver des traces (plus, ou moins grandes) d'or natif: ceci, en allant vers le bas, jusqu'au pieds de cettes Vallées et de leurs cours d'eau, lieu ce dernier à partir duquel, se dirigeant vers la plaine a plutôt commencée dans l'epoque glaciale la distribution, dans le sol, de l'or d'origine alluvionaire, c'est à dire les paillettes.

 

 

Cette page contient seulement le texte principal: pour regarder toutes les photos, cartes, notes qui la concernent et tous les links menant à d'autres pages, il faut utiliser la page d'origine.

 

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